Dernière mise à jour, le 24 avril 2019 à 06:32 Dans une interview enregistrée et diffusée au 20H00 de TF1, l’ex-collaborateur d’Emmanuel Macron a déploré « la folie qui s’est emparée de cette histoire banale », cette « histoire de droit commun » dans laquelle « il ne se passe rien ». « Il n’y a pas d’affaire d’Etat là-dedans », a-t-il martelé, répétant quasiment mot pour mot une argumentation déroulée la veille dans un entretien fleuve au Monde. Mis en examen pour « violences en réunion » après avoir été filmé le 1er mai frappant et malmenant des manifestants à Paris, lui assume « des gestes vigoureux ». Mais il revendique …