Dernière mise à jour, le 6 septembre 2018 à 01:57 D’une part, l’on s’inquiète de l’arrogance qui caractérise le staff dirigeant de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) ; d’autre part, les promesses non tenues de ceux qui se sont engagés à financer entièrement le processus électoral, sans compter les dilatoires initiés pour retarder malignement le processus électoral. Si l’on doit considérer le taux de décaissement des fonds destinés à l’organisation des élections, selon les chiffres rendus publics par les Organisations de la Société civile, on comprend tout de suite qu’il n’y a aucune volonté de la part de Kinshasa …