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RDC : Un journaliste abattu a son domicile

Le journaliste a été abattu, de sang-froid, mardi 15 novembre 2016 vers 1 heure du matin, par un groupe d’hommes armés et en tenues militaires, qui ont pris d’assaut sa résidence. Après avoir maîtrisé tous les membres de sa famille, ils ont ligoté son épouse devant les enfants.  Voulant se sauver, Marcel Lubala a tenté de prendre la fuite. C’est alors qu’il a reçu trois balles qui l’ont atteint au cou et sur le ventre.  Après l’avoir abattu, ses tueurs ont rapidement ramassé son corps baignant dans le sang qu’ils ont trainé dans sa chambre à coucher, disant à sa femme : « Enfin on l’a eu ».

« Enfin, on l’a eu ! ». Telle est la signature laissée par les assassins de Marcel Lubala Kalala, journaliste à la Radio Télévision Nationale Congolaise, station provinciale de Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental.

Le journaliste a été abattu, de sang-froid, mardi 15 novembre 2016 vers 1 heure du matin, par un groupe d’hommes armés et en tenues militaires, qui ont pris d’assaut sa résidence. Après avoir maîtrisé tous les membres de sa famille, ils ont ligoté son épouse devant les enfants.

Voulant se sauver, Marcel Lubala a tenté de prendre la fuite. C’est alors qu’il a reçu trois balles qui l’ont atteint au cou et sur le ventre.

Après l’avoir abattu, ses tueurs ont rapidement ramassé son corps baignant dans le sang qu’ils ont trainé dans sa chambre à coucher, disant à sa femme : « Enfin on l’a eu ».

Selon nos sources, Marcel Lubala, âgé de 59 ans, avait été convoqué, la veille de son assassinat, à la police anti violence et au siège local de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) pour une « affaire familiale ».

Journaliste en danger (JED) est profondément choquée par cet énième assassinat d’un journaliste en RDC. Pour JED, il n y a aucun doute que Marcel Lubala Kalala a été victime d’un règlement des comptes.

JED demande instamment aux autorités provinciales et judiciaires d’ouvrir une enquête urgente pour élucider ce meurtre et s’associe aux professionnels des médias de Mbuji-Mayi, qui ont décidé d’observer, jeudi 17 novembre 2016, une « journée sans presse », en protestation contre l’assassinat de leur confrère.

JED rappelle qu’au cours de ces dix dernières années, au moins 14 journalistes ont été tués en République démocratique du Congo dans des circonstances qui n’ont jamais été clairement élucidées.

Le 16 novembre 2016

« Enfin, on l’a eu ! ». Telle est la signature laissée par les assassins de Marcel Lubala Kalala, journaliste à la Radio Télévision Nationale Congolaise, station provinciale de Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental.

Le journaliste a été abattu, de sang-froid, mardi 15 novembre 2016 vers 1 heure du matin, par un groupe d’hommes armés et en tenues militaires, qui ont pris d’assaut sa résidence. Après avoir maîtrisé tous les membres de sa famille, ils ont ligoté son épouse devant les enfants.

Voulant se sauver, Marcel Lubala a tenté de prendre la fuite. C’est alors qu’il a reçu trois balles qui l’ont atteint au cou et sur le ventre.

Après l’avoir abattu, ses tueurs ont rapidement ramassé son corps baignant dans le sang qu’ils ont trainé dans sa chambre à coucher, disant à sa femme : « Enfin on l’a eu ».

Selon nos sources, Marcel Lubala, âgé de 59 ans, avait été convoqué, la veille de son assassinat, à la police anti violence et au siège local de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) pour une « affaire familiale ».

Journaliste en danger (JED) est profondément choquée par cet énième assassinat d’un journaliste en RDC. Pour JED, il n y a aucun doute que Marcel Lubala Kalala a été victime d’un règlement des comptes.

JED demande instamment aux autorités provinciales et judiciaires d’ouvrir une enquête urgente pour élucider ce meurtre et s’associe aux professionnels des médias de Mbuji-Mayi, qui ont décidé d’observer, jeudi 17 novembre 2016, une « journée sans presse », en protestation contre l’assassinat de leur confrère.

JED rappelle qu’au cours de ces dix dernières années, au moins 14 journalistes ont été tués en République démocratique du Congo dans des circonstances qui n’ont jamais été clairement élucidées.

[JED/Le 16 novembre 2016]

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