samedi , 7 novembre 2020
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Conseil de sécurité des Nations unies.
Conseil de sécurité des Nations unies.

ONU : Ce «bras armé» des grands capitalistes multimilliardaires !

Comme vous le savez, ayant débuté depuis 1997, le deuxième génocide congolais continue jusqu’à ce jour ; et c’est Bill Clinton qui en est le géniteur politique et il en tire d’ailleurs un grand profit matériel. L’affaire du 2ème génocide congolais est parmi les plus grands dossiers qui embarrassent Bill Clinton et pour lesquels il a poussé sa femme, Hillary, à devenir présidente des USA afin d’essayer de … Même s’il se cache derrière sa Fondation qu’il a créée en 1997 (simple coïncidence avec le début du 2ème génocide congolais ?) non seulement pour tenter de se donner bonne conscience mais également et surtout pour payer le moins d’impôts possible, Clinton – ce cynique et hypocrite impérialiste – fait aussi partie du club restreint des grands capitalistes multimilliardaires (comme le néocolonialiste Maurice Tempelsman, grand diamantaire Belgo-Américain d’origine israélienne) qui continuent à piller jusqu’à ce jour les immenses richesses naturelles du Congo en massacrant par procuration les peuples autochtones (les Bantou congolais) ;  [Voir l’annexe en bas de la page pour lire le mini décryptage fait par François Clemenceau sur le rôle néfaste de la fondation de Bill Clinton et de celle de Bill Gates dont le titre : « Quand Clinton et Gates remplacent l’ONU»]. Nous vous rappelons que le premier génocide congolais a été commandité par Léopold II, roi des Belges (grand sanguinaire esclavagiste comme son père Léopold Ier). Au juste, c’est quoi l’ONU, et à quoi sert-elle ? Ce « machin » – disait ouvertement le Général Charles De Gaulle, alors président de la République Française, à Paris, bien longtemps après la libération de la France des griffes des criminels Nazis (allemands) – continue à jouer ce rôle jusqu’à ce jour ! Pour nous les Congolais, l’ONU n’est rien d’autre qu’un instrument politique, financier, juridique, judiciaire et militaire au service du « Capitalisme Sauvage et Sanguinaire ». Donc, c’est le « Bras armé » de l’impérialisme américain, anglo-saxon, et européen. La MONUSCO (Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RD Congo) – ayant remplacé la précédente opération de maintien de la soi-disant paix, la MONUC, le 1er juillet 2010, selon le mandat établi par la résolution 1925 (en 2010) du Conseil de sécurité du 28 mai – s’est depuis pérennisée dans son rôle de « bras armé » du « Grand Capital » en s’illustrant notamment contre les intérêts vitaux du peuple Congolais.

À trois jours de son 71ème anniversaire depuis la création de l’ONU ; au moment où les Impérialistes les plus têtus tels que les Clinton veulent toujours continuer à instrumentaliser à tout prix ce « machin » afin d’essayer de diriger à tort ce monde qu’ils commencent déjà à perdre ; au moment où un Occidental, en l’occurrence le diplomate portugais  António Manuel de Oliveira Guterres, s’apprête à régner sur cette Organisation soi-disant internationale à partir du 1er janvier 2017 ; nombreux citoyens du monde dont les Congolais se posent de nombreuses questions notamment : c’est quoi l’ONU, et à quoi sert-elle pour ce monde en pleines mutations ?

Selon les Archives de l’ONU : « L’organisation des Nations unies, en sigle ONU, est née officiellement le 24 octobre 1945, date officielle d’entrée en vigueur de la Charte des Nations unies, signée le 25 avril de la même année, à San Francisco, par la Chine, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l’Union soviétique et 45 autres pays. À ces membres originaires s’ajoutait la Pologne, qui, absente à la conférence, signa le texte peu après. L’idée maîtresse qui présida à la création de l’Organisation des Nations unies était la préservation de la paix. Les nations fondatrices étaient alors engagées solidairement dans la lutte contre les forces de l’Axe (Allemagne, Italie et Japon). (…) Une autre institution intergouvernementale ayant les mêmes buts existait avant l’ONU : c’était la Société des Nations, en sigle SDN, qui fut créée en 1919 par le Traité de Versailles, et qui avait pour mission, après la Première Guerre mondiale, d’asseoir définitivement la paix entre les nations et de fournir des garanties réciproques d’indépendance politique et territoriale aux États, petits ou grands. Mais la SDN ne parvint à rassembler que les démocraties européennes et se limita rapidement à une simple association de ces dernières. Les États-Unis n’en firent jamais partie, en raison du refus du Sénat de ratifier ledit Traité. L’entrée décisive, en 1933, de l’Union soviétique – qui fut exclue en 1939 après qu’elle eut attaqué la Finlande – coïncida avec le départ du Japon et de l’Allemagne. »

En effet, pour nous les Congolais, nos aînés et nos aïeux se sont battus pour arracher notre indépendance des mains des colonialistes belges, le 30 juin 1960, une quinzaine d’années après la seconde Guerre Mondiale où les occidentaux nous avaient mondialement exhibés leur sauvagerie. Les crimes commis par les Nazis nous sont encore proches dans la mémoire pour les avoir étudiés, sur le plan livresque, depuis l’école secondaire jusqu’au niveau supérieur. À cette époque, notre pays n’avait pas beaucoup des cadres supérieurs ayant fait des études universitaires en Science politique et en Histoire en vue d’appréhender tous les méandres de la politique internationale. Nos aînés ne maîtrisaient presque pas cette politique mondiale, c’est-à-dire ils ignoraient tout ce qui se passait dans le monde dans les années 1940 jusqu’en 1960. Par exemple, ils étaient complètement sous-informés :

  • de ce qui se passait exactement pendant la seconde Guerre mondiale ;
  • de la recherche de la paix mondiale en créant l’ONU à la place de la Société des Nations ;
  • de la création de l’État d’Israël ;
  • des guerres pour l’indépendance en Asie ;
  • de la conférence du Caire [nom de code « SEXTANT » : un sextant est un instrument de navigation basé sur la hauteur angulaire d’un astre tel que le soleil], tenue du 22 novembre au 26 novembre 1943, qui porta sur le Japon et sur l’Asie ;
  • de la Conférence de Bandung (ville d’Indonésie) du 18 au 24 avril 1955 qui marqua l’entrée sur la scène internationale des pays du Tiers monde. Ces derniers, en choisissant le non-alignement,  avaient formé le 3ème bloc ;
  • des luttes pour l’indépendance en Afrique (telle que l’indépendance du Ghana, de la Guinée de Sékou Touré, et celle des pays africains anglophones et lusophones car l’Angola, le Mozambique, la Guinée Bissau, São Tomé-et-Príncipe, et le Cap Vert, avaient commencé la lutte d’indépendance bien avant nous au Congo) ;
  • du néocolonialisme subi par les pays africains francophones ;  – etc.

Mais, malgré ces insuffisances, les vaillants Congolais de l’époque, notamment Lumumba, Kasa-vubu, Tshombe, Kalondji, Kamitatu, Bolikango, Bomboko, Nendaka, Gbenye, Sendwe, Ngalula, Lubaya, avaient réussi à arracher notre souveraineté nationale. Ayant par après constaté combien ils allaient perdre définitivement leur gâteau (le Congo), les Belges et certains pays européens commencèrent à comploter contre notre pays en vue de le balkaniser en créant des fausses sécessions dans nos zones minières notamment au Sud-Katanga et au Kasaï. Ils échouèrent lamentablement en tentant même de pousser le Kivu, le Kisangani et l’Equateur à se soustraire du Congo. Malgré cette machination,  ces prédateurs n’avaient pas pu atteindre leur objectif diabolique. Suite à cette situation, on remarqua, pour la première fois, la présence de l’ONU au Congo dans le cadre de l’opération ONUC, l’opération des Nations-Unies au Congo en activité du 14 juillet 1960 au 30 juin 1964. Mais avec quel résultat ?

Le 14 juillet 1960, pour la toute première fois depuis sa création, l’ONU entra au Congo, et c’était le commencement de l’intervention de ce « machin » dans notre pays. Au moment où les impérialistes projetaient le renversement et l’élimination physique de leur pire ennemi, Patrice Emery Lumumba, ce dernier s’envolera pour les États-Unis pour s’expliquer en vue  de les convaincre pour que ceux-ci l’aident à maîtriser la situation préoccupante du Congo. Lumumba avait réussi son « opération séduction ». Et il avait même obtenu la promesse ferme des investissements américains. Malheureusement, la petite Belgique, qui ne pouvait pas accepter ce succès diplomatique de Lumumba, s’engagea dans une immense campagne de diabolisation contre lui : campagne militaire, diplomatique et médiatique par notamment le journal anti-Lumumba, « La Libre Belgique ». Influencés par la petite Belgique, les États-Unis d’Amérique, via la CIA et le président Eisenhower, décidèrent d’éliminer physiquement Lumumba par tous les moyens.

Selon les Archives du Congo : « Quelques jours seulement après l’indépendance de la République du Congo-Kinshasa, des mutineries – fomentées par les insatiables Belges – contre les officiers blancs et les populations européennes vivant au Congo donnèrent ainsi un prétexte valable à la petite Belgique  pour intervenir militairement dans son ancienne colonie. Avant le 12 juillet 1960, Kasa-vubu et Lumumba avaient commencé par demander l’intervention des USA mais les Américains ne voulaient pas affronter sur le terrain leurs alliés de l’OTAN. C’est pour cette raison qu’ils avaient orienté Kasa-vubu et Lumumba de solliciter l’intervention des Nations Unies. Par ailleurs, les amis Africains avaient conseillé Lumumba de ne pas faire appel à l’ONU ; mais hélas !, l’ignorance de la situation politique internationale avait joué en faveur de l’ONU. Alors, le 12 juillet 1960, le gouvernement du Congo-Kinshasa demanda naïvement l’aide de l’ONU afin de protéger le pays des agressions extérieures. Dans les deux jours qui suivirent, le Conseil de sécurité de l’ONU demanda à la petite Belgique de retirer ses troupes et autorisa une provision visant à procurer une assistance militaire au Congo-Kinshasa jusqu’à ce que son gouvernement juge sa mission accomplie. Rapidement, un contingent de l’ONU, composé de force de maintien de la paix des Nations unies venu en majorité pays d’Asie et d’Afrique, arriva au Congo, accompagné d’experts civils afin de procurer une assistance aux services publics. »

« Pour la toute première fois depuis l’existence de l’ONU, ces derniers furent engagés dans des combats contre l’armée katangaise – une armée instrumentalisée par les mêmes sadiques Belges –  lorsqu’ils reçurent l’ordre de réduire l’État du Katanga. À son apogée, l’ONUC comptait près de 20.000 militaires et civils. Cette opération fut marquée par plusieurs batailles et par de nombreuses opérations civiles et militaires, 126 casques bleus furent tués, et 109 autres étaient morts par suite d’accidents ou pour des raisons naturelles. Le plus célèbre des tués n’est autre que le secrétaire général de l’ONU de l’époque (10/04/1953 au 18/09/1961) au nom de Dag Hammarskjöld (son nom complet est : Dag Hjalmar Agne Carl Hammarskjöld), un diplomate suédois, tué dans un accident d’avion le 18 septembre 1961. »

Voici les circonstances de sa mort. « Dans la nuit du 17 au 18 septembre 1961, probablement aux alentours de 0 h 15, l’Albertina, le DC-6 affrété pour le compte de l’ONU par la compagnie suédoise Trans Air qui transportait Dag Hammarskjöld s’est écrasé dans une forêt à une dizaine de kilomètres de Ndola, en Rhodésie du Nord, (actuelle Zambie). Arrivé à Kinshasa (Léopoldville) le 13 septembre 1961, au lendemain du déclenchement par l’ONUC de l’opération Morthor, Hammarskjöld se rendait à Ndola afin de rencontrer le président du Katanga indépendant Moïse Tshombe. Il espérait pouvoir négocier avec lui la libération d’une compagnie de casques bleus retenue en otage à Jadotville ainsi que le désarmement complet des forces katangaises, en application de la résolution 161 du conseil de Sécurité. Apparemment, Hammarskjöld mourut au moment même de l’impact avec 14 autres passagers et membres d’équipage. Seul le chef de la sécurité, le sergent Harold Julien, survécut à l’écrasement mais décéda 6 jours plus tard. »

« La mort de Hammarskjöld créa une grande émotion à travers le monde, en particulier dans les pays du Tiers Monde. Le Premier ministre congolais Cyrille Adoula accusa les impérialistes occidentaux  d’avoir assassiné Hammarskjöld et il décréta un jour de deuil national. En 2007, Claude de Kémoularia, proche collaborateur d’Hammarskjöld, espérant que toute la lumière soit enfin faite sur cette disparition (cet attentat), a réuni plusieurs témoignages et développé une thèse qui entend prouver que l’avion du secrétaire général aurait été abattu par des mercenaires belges aux commandes d’un Fouga Magister, avion d’entraînement et d’attaque au sol.»

Là, l’ONU par Dag Hammarskjöld, les USA par la CIA, l’Europe par la petite Belgique, Londres et Paris notamment, s’engagèrent à éliminer physiquement Lumumba, y compris les Lumumbistes, les Progressistes et les Nationalistes. Et les ennemis du peuple congolais réussirent à assassiner le Patriote Patrice Emery Lumumba, quelques heures après l’avoir escorté jusque dans la villa Browz à Luano (Aéroport du Katanga), à Lubumbashi, le 17 janvier 1961. C’est triste, car ce tragique événement se déroulait en présence des troupes suédoises de l’ONUC ! Cela s’était exactement passé comme lors de son arrestation à Bolongo (Territoire de Mueka, province du Kasaï Occidental), les troupes ghanéennes de l’ONUC qui étaient sur place n’avaient pas voulu intervenir pour le sauver des griffes des soldats du traître Mobutu, alors que cette même ONUC était censée le protéger. En réalité, des recherches antérieures apportèrent des preuves solides au fait que l’assassinat de Lumumba résultait directement d’ordres qui avaient été donnés par le gouvernement belge et par l’administration Eisenhower, agissant par l’intermédiaire de la CIA (Central Intelligence Agency) et de traîtres congolais financés et conseillés par Bruxelles et par Washington.

Une fois cette mission accomplie (celle de la neutralisation de Lumumba & les siens), l’ONUC (avec les États-Unis en tête) changea radicalement de politique. Elle s’engagea à défendre l’unité du Congo contre les principaux européens (surtout les Belges) soutenant les sécessions. Comme nous l’avons susmentionné, une bataille sans merci éclata : en 1962, pour la toute première fois de son histoire, l’ONU prit victorieusement les armes contre les rebelles katangais et leurs mercenaires européens recrutés par la petite Belgique. À partir de cette date, l’opération de l’ONUC était devenue bénéfique pour les USA, et pour le Congo : surtout sa branche éducationnelle joua un grand rôle dans les domaines sociaux tels que l’administration, enseignement, social, etc.

Quel étonnement ! En 1960, l’ONU par l’ONUC (Opération des Nations Unies au Congo) avait employé, pour la première fois de son existence, des armes pour rétablir l’unité du Congo menacée par la petite Belgique et certains autres pays européens qui voulaient le balkaniser par des sécessions préfabriquées. Mais, presque 30 après, l’ONU revient au Congo, alignée sur le même plan secret américain pour occuper et balkaniser notre pays par l’intermédiaire de leurs sous-traitants de « l’International Tutsi-power ». L’Union européenne s’est aussi alignée sur ce même plan démoniaque. S’apprêtant à succéder à Ban Ki-moon le 1er janvier 2017, Monsieur António Guterres, l’ancien premier ministre portugais de droite et nouveau Secrétaire général de l’ONU, parviendra-t-il à rétablir la MONUSCO dans sa vraie mission de « paix » lui confiée par l’Assemblée générale ? Car, comme l’ONUC en 1960, la MONUSCO a, depuis 1999 jusqu’en 2012, un effectif global de 23.000 militaires et civils (dépassant même l’effectif maximum autorisé de 22.016 personnes) ; mais elle est incapable de chasser les bandes d’Extrémistes et Tueurs-Tutsi venus de l’Ouganda, du Rwanda, du Burundi, de la Tanzanie, de l’Éthiopie, de l’Érythrée, et de la Somalie.

Pour votre information, la Mission de l’Organisation des Nations unies en République démocratique du Congo, MONUC en sigle de 1999 au 30 juin 2010, et MONUSCO – Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en République « démocratique » du Congo – depuis le 1er juillet 2010, est une mission de maintien de la paix en République « démocratique » du Congo. Cette mission a été créée par la résolution 1279 du Conseil de sécurité en date du 30 novembre 1999.

Malheureusement, au lieu d’accomplir sa vraie mission, la MONUSCO s’est engagée dans des opérations clandestines d’exploitation des minerais ; fait le trafic des uniformes des FARDC qu’elle remette aux envahisseurs Tutsi ; participe aux viols ; s’adonne au trafic des organes humains ; bref, elle se fait complice du deuxième génocide congolais (surnommé : génocide Clinton). Quelle ignoble complicité ! Incroyable pour une organisation internationale ! Des massacres indescriptibles se déroulent au Nord/Kivu où les envahisseurs étrangers, à l’image des membres de « l’International Tutsi-power », s’installent déjà dans les villages et maisons abandonnés par les autochtones Congolais chassés ou tués. Actuellement, tout se passe à l’œil nu. Les ennemis du Congo se servent des avions et drones de la MONUSCO pour chasser les Congolais autochtones (bantou et soudanais Congolais) de leurs terres ancestrales. Drôle de façon de maintien de l’ordre et de la paix !

En plus, jusqu’à ce jour, la MONUSCO (ou l’ONU) a déjà voté plus de 200 résolutions sur le Congo mais, à notre grand étonnement, aucune d’elles (ces résolutions-là) n’a été appliquée. L’ONU ne fait que tourner en rond. À quoi sert cette MONUSCO avec ses 20.000 hommes armés qui, souvent, s’habillent en tenues militaires (uniformes) congolaises qu’ils cèdent ou transmettent par après aux militaires rwandais de l’APR qui sont sur notre territoire. En voici la preuve (veuillez ouvrir ce lien). Et la population congolaise se retrouve abandonnée dans des bois et forêts sans aucun secours de cette fameuse MONUSCO. Alors, pourquoi la MONUSCO est-elle présente au Congo au moment où leur échec est visible à l’œil nu ? Leur bilan au Congo : 20 millions de morts massacrés par les « Criminels et Tueurs Tutsi » à l’indifférence totale et complice de la  MONUSCO !

Enfin, à partir du 1er janvier 2017, et avec à sa tête António Guterres, l’ONU – qui est censée, depuis 20 ans,  rétablir et stabiliser la paix civile et assurer l’intégrité territoriale du Congo – sera-t-elle capable de sauver son honneur en accomplissant sa vraie mission dans ce pays meurtri ? Originaire du Portugal – un pays politiquement et diplomatiquement faible, un pays économiquement et financièrement pauvre –, le diplomate portugais António Guterres aura-t-il le courage de résister, de ne pas céder aux injonctions immorales de la « Haute Finance » contraires à l’éthique onusienne ? La MONUSCO ne favorisera-t-elle plus les infiltrations et les attaques meurtrières des voisins du Congo ? La MONUSCO cessera-t-elle sa complicité active et passive ?

POUR CE FAIRE, PUISQUE NOTRE PAYS EST OCCUPÉ, LES TRAÎTRES ET LES COLLABOS SERONT SÉVÈREMENT SANCTIONNÉS APRÈS LA LIBÉRATION. ET NOUS LANÇONS UN APPEL SOLENNEL À  TOUS LES COMBATTANTS ET RÉSISTANTS CONGOLAIS QUI SONT SUR LE TERRAIN DE SE PRÉPARER EN VUE DE ROMPRE AVEC LA MONUSCO UNE FOIS L’OCCUPATION RENVERSÉE !

BREF, NOUS RAPPELONS QUE LE PEUPLE CONGOLAIS VAINCRA. NOTRE VICTOIRE EST SÛRE ET CERTAINE, CAR NOUS DÉFENDONS UNE CAUSE LÉGITIME, NOBLE ET JUSTE ! ATTENTION, LES AMÉRICAINS RISQUENT DE VOLER NOTRE VICTOIRE ! CAR ILS ONT DÉJÀ VOLÉ NOTRE INDÉPENDANCE ET NOTRE DÉMOCRATIE EN ASSASSINANT PATRICE EMERY LUMUMBA. ENSUITE, ILS NOUS ONT FAIT RATER LE DÉCOLLAGE DÉMOCRATIQUE DANS NOTRE PAYS EN NOUS AMENANT LES ENVAHISSEURS TUTSI. SOYONS DONC VIGILANTS ! INGETA !

Vive le CRAGI :

« Comité Révolutionnaire d’Avant-Garde Indépendant » !

Vive le Congo libre, indépendant et prospère !

Vive la lutte pour notre liberté !

FAIT À GENÈVE/ONU, LE VENDREDI 21 OCTOBRE 2016

« Sé/Cellule Marcel LUKIKA »

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ANNEXE :

«  Quand Clinton et Gates remplacent l’ONU »

« LE GRAND ANGLE DIPLO – François Clemenceau, rédacteur en chef du service « International » du JDD, décrypte chaque semaine les photos de l’actualité mondiale ou de ses coulisses. Cette semaine, il revient sur le rôle des fondations de Bill Clinton et de celle du fondateur de Microsoft. »

Veuillez suivre François Clemenceau dans cette courte vidéo de 2’:35’’ intitulée : « Le grand angle diplo : quand Clinton et Gates remplacent l’ONU » : https://youtu.be/zbVZreT2OnM

« La 69e Assemblée générale des Nations Unies s’ouvre à New York, l’occasion pour les chefs d’Etats de parler des crises, du réchauffement climatique ou du virus Ebola… Mais aussi de constater que l’Onu n’a plus les moyens de ses ambitions. »

« Au même moment, Bill Clinton réunit, lui aussi à New York, son sommet annuel : la Clinton Global Initiative. Ce sommet attire des responsables de tous horizons pour contribuer aux débats du moment et à ses finances. Depuis 2005, la fondation Clinton a réussi à lever plus de 70 milliards de dollars, créant de multiples programmes dans tous les domaines : éducation, alimentation, santé, formation… »

« Une générosité qui a des avantages pour Bill et Hillary Clinton leur permet d’entretenir un carnet d’adresse planétaire qui conforte leurs ambitions politiques ainsi que celles de leur fille Chelsea, vraie gestionnaire de la fondation. Même chose pour la fondation Bill Gates qui apporte une image de bienfaiteur de l’humanité au fondateur de Microsoft et des relations dans le monde entier qui lui donne quasiment rang de chef d’état. »

« Cependant, ces fondations prestigieuses récoltent tellement d’argent qu’elles mettent en péril le travail irremplaçable des Nations Unies dans l’aide humanitaire et l’aide au développement. »

Source : http://www.lejdd.fr/International/quand-Bill-Clinton-et-Bill-Gates-remplacent-l-ONU-le-grand-angle-diplo-de-Francois-Clemenceau-688482

FIN

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