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Paul Kagame, Yoweri Museveni et Joseph Kabila Kabange, Kampala, le 22 novembre 2012
Paul Kagame, Yoweri Museveni et Joseph Kabila Kabange réunis à Kampala le 22 novembre 2012

L’identité cachée du pion des Américains en Afrique Centrale !

Du Marxisme au Capitalisme sanguinaire et sauvage : transformation idéologique, et cynisme, d’un homme rusé comme un renard ! Arrivé au pouvoir par un coup d’État, l’actuel président de l’Ouganda depuis le 29 janvier 1986, Yoweri Museveni, de son vrai nom de naissance Yoseri Tubuhaburwa, est un Extrémiste et Tueur Tutsi qui continue à bien tenir au plus grand secret sa vraie identité rwandaise pour éviter de se faire démasquer par les Ougandais. Cet infiltré en Ouganda, alias Yoweri Museveni, recruté, engagé, adopté et toléré par les Américains et leurs Multinationales malgré ses innombrables crimes, est le représentant de l’Impérialisme américain pour l’Afrique Centrale et les « Grands Lacs ». Ce criminel de guerre – le vassal qui encadre ses deux autres frères Extrémistes et Tueurs Tutsi notamment Paul Kagamé, président du Rwanda, et « Joseph Kabila », proconsul placé à la tête du Congo-Kinshasa, leur nouvelle « Province conquise » – est le sous-traitant africain qui coordonne toutes les malversations américaines symbolisant leur Capitalisme sanguinaire et sauvage en Afrique Centrale et dans les « Grands Lacs ».

Comme tous les Tutsi, mentir est un devoir, un art et une culture qu’ils apprennent dès leur naissance. Cela est bien connu au Rwanda sous l’appellation « d’UGBENGE ». Les Allemands qui les avaient colonisés depuis des années et, les Belges qui les administraient pour le compte des Nations-Unies depuis 1919. En effet, la 1ère Guerre Mondiale avait remis en cause le partage des influences impérialistes en Afrique. Avec le Traité de Versailles signé en 1919, l’Allemagne vaincue cédera la gestion du  Rwanda et du Burundi à la petite Belgique. Nous passerons pour le moment sous silence tous les crimes inadmissibles de l’exploitation éhontée, inhumaine du capitalisme sauvage par les sociétés concessionnaires du capitalisme international. Leurs crimes économiques ne seront connus du monde qu’avec le livre d’André Gide, intitulé « Voyage au Congo ».

En effet, seuls les Allemands et les Belges connaissent à fond les « Extrémistes et Tueurs Tutsi ». Les études belges et allemandes de sociologie, ethnographie et anthropologie des Hutu et Tutsi ne nous parviennent que maintenant. Depuis leur enfance, les Tutsi apprennent à mentir : « Ugbenge ». C’est le cas d’un certain Yoweri Museveni, président actuel de l’Ouganda. Alors rebelle ougandais, il s’était fait tout petit pour bénéficier de l’aide financière et matérielle du président Mobutu, le Grand Léopard du Zaïre. Visitant Kinshasa pour la première fois, en 1985, logé à l’Hôtel Intercontinental, il en était ébloui et est resté jaloux de notre pays jusqu’à ce jour. Raison pour laquelle il ne cesse de s’activer – en complicité avec ses maîtres Américains et Anglo-Saxons – pour balkaniser et détruire notre pays. Son cas n’est pas cas isolé, car presque tous les étrangers notamment Rwandais qui ont séjourné au Congo-Kinshasa sont devenus jaloux de notre pays à cause de ses immenses richesses naturelles ; nous pouvons d’ailleurs citer les cas de Bugera Nyamakuba, Vital Kamerhe, Bizimana Karamuheto, « Moïse Katumbi » (Juif-Zambien), Barthélemy et Charles Bisengimana, James Kabarebe, Paul Kagamé, «Joseph, Janet & Zoé Kabila ».

Revenons à l’identité Tutsi-rwandaise jalousement cachée du pion des Américains, Museveni. Enfant, ayant fui le Rwanda avec ses parents pour échapper aux persécutions hutu, ce dernier était arrivé en Ouganda à l’âge de 6 ans. Dès leur arrivée à Mbarara (ville ougandaise) comme Réfugiés Tutsi-rwandais, ils étaient accueillis par la famille de Monsieur Boniface Byanyima, descendant de la famille royale d’Ankolé – le royaume Ankolé, appelé aussi Nkoré, est l’un des cinq royaumes traditionnels de l’Ouganda – située à la frontière du Rwanda avec la Tanzanie et l’Ouganda depuis la ville de Mbarara. Le royaume a été officiellement aboli en 1967 par le gouvernement du Président ougandais de l’époque Milton Obote.

Monsieur Boniface et Madame Gertrude Byanyima, très accueillants et charitables, avaient tout fait pour leur intégration en Ouganda. Le jeune Yoseri Tubuhaburwa commença ses études à la MHS (Mbarara High School) de cette ville où monsieur Boniface Byanyima était enseignant. Habitué à l’imposture et à leur habituelle ruse dite ugbenge, le jeune Yoseri Tubuhaburwa était trop peu bavard et très discret jusqu’à ce qu’il changea d’école à Ntare. Monsieur Boniface Byanyima le dépeint comme un menteur guidé par l’intérêt personnel et tribaliste. Yoseri est parti faire des études de sciences politiques et d’économie à l’université de Dar es Salaam en Tanzanie de 1967 à 1970, pays alors dirigé par Julius Nyerere, l’un des principaux représentants du socialisme africain et qui accueille alors, dans la capitale, nombre de militants anti-colonialistes, des « guérilleros communistes jusqu’aux sociaux-démocrates » selon l’historien Gérard Prunier. De ses études universitaires, il en sortit Docteur ès sciences politiques de l’université de Dar es Salaam où le professeur Ernest Wamba dia Wamba, du RCD/Rwanda, donnait les cours d’histoire et de sociologie. Celui-ci (Wamba dia Wamba) est de la tribu Munianga, originaire du territoire de Luozi, province du Bas-Congo (actuel Kongo Central).

Nota Bene : À l’âge adulte, Yoseri décide de transformer le nom de Yoseri en Yoweri et abandonne carrément le nom à consonance trop rwandaise de Tubuhaburwa, afin de parvenir à camoufler ses origines Tutsi-rwandaises. Toujours par la ruse, il parvient à fabriquer un nouveau nom, celui de Museveni à partir de « seven » –  « sept » en anglais, et « sambo » en lingala – en hommage au septième bataillon du King’s African Rifles, un régiment britannique d’infanterie coloniale au sein duquel ont servi des milliers d’Ougandais pendant la Seconde Guerre mondiale.

Pendant qu’il poursuivait ses études à Dar-ès-Salam, Yoseri fut un fervent militant chrétien et, lui-même, ne cesse de le dire jusqu’aujourd’hui : « J’ai été un fanatique ». Il parle d’un accord qu’il passa dans sa jeunesse avec le Christ et se souvient encore des sermons qu’il faisait à l’organisation évangélique Scripture Union. Ne s’ébrouant pas seulement dans les milieux chrétiens, cet aventurier rêvait déjà de renverser le premier ministre installé depuis l’indépendance de l’Ouganda, en 1962, Milton Obote, au nom de la révolution africaine. Le 30 juillet 2005, lors d’une cérémonie de fiançailles à Mbarara, Museveni l’a reconnu en ces termes : « Encore étudiant à l’école de Ntare, j’ai commencé la guerre contre la dictature quand Obote abrogea la Constitution, mais le Mzee Kahigiriza (alors premier ministre du royaume Ankolé me le déconseilla, car cela me causerait trop de problèmes ». Certains n’hésitent pas à affirmer que c’est à cette époque déjà, vers 1967, qu’il intégra les services secrets ougandais, alors que la biographie officielle situe cette intégration en 1970, lorsqu’il est rentré en Ouganda.

Arrivé à l’université de Dar es Salaam, en tout cas, il y fit ses gammes de révolutionnaire panafricain et devint l’ami de John Garang, un Soudanais qui prendra plus tard la tête du Mouvement populaire de Libération du Sud-Soudan (SPLA). Là, l’ugbenge fonctionne comme il faut, il fut un fervent marxiste. Très bien accueilli en Tanzanie, il fréquente les mouvements nationalistes radicaux et devint le président du Front des Étudiants Africains  Révolutionnaires (USARF). Il avait une admiration pour Otto von Bismarck, Hitler et Ernesto Guevara (Che). En Tanzanie, il s’était mis à admirer Lénine, les leaders communistes et il dénonçait le capitalisme. Pour tous ceux qui le connaissaient pendant les années de sa jeunesse, Museveni était un marxiste. Soumis et obéissant, il réussit à s’attacher au président « Julius Nyerere (qui) fait de lui l’un de ses protégés – et plus tard, au début des années 1980, il lui fournira armes et argent pour prendre le pouvoir en Ouganda » (in Pierre Péan, Carnages, Paris, Fayard, 2010, p. 224). Encore étudiant, et rêvant comme Bismarck, il pensait créer un ensemble régional regroupant l’Erythrée, l’Éthiopie, la Somalie, les deux Soudan, l’Ouganda, le Kenya, la Tanzanie, le Rwanda, le Burundi et le Zaïre. « Museveni a toujours cherché à étendre son influence au-delà des frontières de l’Ouganda tracées autrefois par les puissances coloniales. C’est ce qu’il appelle : l’Empire Hima-Tutsi. Son panafricanisme n’est guère éloigné de la doctrine pangermaniste, et quand il parle du rassemblement des Allemands, il songe d’abord au concept d’espace vital (Lebensraum) qu’utilisait Hitler dans Mein Kampf pour justifier sa future politique : les premières applications furent l’annexion de l’Autriche et celle de la province tchèque des Sudètes » (Ibid., p. 220).

Il paracheva sa formation en Mozambique – un pays ayant le portugais pour langue officielle – en allant y apprendre les techniques de guérilla dans le maquis du Front de Libération du Mozambique, en sigle FROLIMO (en portugais : Frente de Libertação de Moçambique, en sigle FRELIMO), qui combattait la puissance coloniale portugaise encore en place. Yoseri avait appris beaucoup de choses et fut impressionné par le niveau d’organisation dudit Front et par son interprétation du rôle du soldat dans les luttes pour l’indépendance en Afrique. C’est dans ce maquis où il a fait connaissance avec le Général Élie Kapend Kanyimbu, l’ex-Gendarme katangais, et président du Front de Libération Nationale du Congo, FLNC en sigle. Yoseri reconnaîtra que la guerre, sous forme de combat politique, ne peut être conduite et remportée que par des combattants idéologiquement engagés, non par des soldats politiquement neutres. La conviction qu’il avait acquise détermine la philosophie de tous ces futurs combats. À partir de 1970, il ne va plus cesser de comploter ni de faire parler la poudre.

Après ses études en 1970, Yoseri Tubuhaburwa rentra en Ouganda, dirigé en ce moment par le président Obote Milton. Il intégra les services secrets ougandais, le « General Service Unit », en sigle « GSU », où évoluaient déjà de nombreux réfugiés Tutsi du Rwanda. Il se lança en politique en Ouganda et s’entoura de ses frères Tutsi, réfugiés, qui s’y trouvaient en quantité industrielle. Cela révolta les autochtones ougandais et ces derniers devinrent anti-Réfugiés Tutsi Rwandais.

En 1971, le président Obote est renversé par le général Idi Amin Dada Oumee, d’origine congolaise, avec l’aide des services anglais et israéliens avec l’attaché militaire à l’ambassade d’Israël, M. le colonel Bar Lev.  Au moment du coup d’État d’Idi Amen, Yoseri Tubuhaburwa s’est enfui avec ses amis du GSU (services secrets ougandais) en Tanzanie et forma un groupe rebelle dénommé le «Comité des Sept » qui devint le « Front for National Salvation », en sigle FRONASA. Après la mutinerie de 1978, les militaires ougandais mutins avaient fui en Tanzanie. Et Idi Amin Dada décida de les attaquer en Tanzanie et annexa le Nord tanzanien. La guerre éclata entre l’Ouganda et la Tanzanie. Les exilés ougandais entrèrent en jeu avec Museveni à la tête de l’Armée de Libération de l’Ouganda (UNLA : Uganda National Liberation Army). Avec une force constituée de 5000 troupes tanzaniennes et de 3000 soldats ougandais, Kampala tomba aux mains des Tanzaniens dans la nuit du 10 au 11 avril 1979, et Idi Amin Dada prit fuite et s’exila en Libye. S’est ouvert la période transitoire avec à sa tête le professeur Yusuf Lule. Ce dernier dirigea un cabinet de 14 membres. Lule organisa les élections, en 1980. Yoseri est élu l’unique député de son parti, mais il perd aux présidentielles. Le 15 décembre 1980, Milton Obote gagne les élections et redevient ainsi président. Il refusa d’intégrer le parlement s’en alla créer sa propre rébellion pour mener sa lutte armée avec la NRA ( National Resistance Army, en français : l’Armée de la Résistance Nationale). Quand le professeur Yusuf Lule s’empara du pouvoir à Kampala, le 11 avril 1979, il nomma Yoseri Tubuhaburwa alias Museveni comme ministre de la Défense nationale. L’existence de la  coterie aidant, il installa ses frères Tutsi dans des postes importants de ce ministère.

En décembre 1980, avec son mouvement, il échoua aux élections organisées par Yusuf Lule. Jaloux, haineux, et assoiffé de pouvoir, Museveni se retirera dans le maquis et organisa son NRA. Il développa une guérilla particulièrement cruelle qui massacrait des civils. Il attribuera ces propres crimes à l’armée régulière de Milton Obote.

En 1982, ayant appréhendé le danger pour son pays, Milton Obote expulsa plusieurs Tutsi de l’Ouganda. Les Tutsi plus jeunes regagnèrent le maquis de Museveni. Ils créèrent des « escadrons de la mort » dénommés « Black Bombers », souvent habillés en uniformes de l’armée régulière d’Obote Milton, et ils y semèrent vraiment la terreur en Ouganda. Des massacres à grande échelle organisés furent commis. Museveni et ses frères Tutsi appliquaient leur stratégie bien connue, celle relative à Ugbenge. La stratégie mise en application par l’Armée de la Résistance Nationale (NRA)  consistait à attribuer à l’ennemi leurs propres crimes ou massacres. En faisant porter à leurs ennemis cette lourde responsabilité, la NRA justifiait ainsi la raison d’être de leur rébellion. C’est la même stratégie qu’utilisent les Tutsi au Kivu, à Beni plus particulièrement. En effet, les Extrémistes et Tueurs Tutsi du M/23 s’habillent en uniforme des FARDC. Ce sont des tenues militaires de l’Armée congolaise que la MONUSCO (bras armés des Américains et leurs Multinationales) confie à criminels pour massacrer les Congolais autochtones : c’est une complicité avérée.

Il convient de préciser que Museveni a toujours eu la folle idée de créer son Empire Hima-Tutsi. Depuis qu’il était étudiant, son rêve est de créer un ensemble régional regroupant l’Erythrée, l’Éthiopie, la Somalie, les deux Soudan, l’Ouganda, le Kenya, la Tanzanie, le Rwanda, le Burundi et le Zaïre. « Museveni a toujours cherché à étendre son influence au-delà des frontières de l’Ouganda tracées autrefois par les puissances coloniales. C’est ce qui explique tous les troubles, massacres, attaques en Ituri ou dans toue cette partie de notre pays. Pour parvenir à concrétiser leur plan, la bande à 3 criminels – notamment Yoseri Tubuhaburwa, Paul Kagame et Hyppolite Kanambe – agit en plusieurs étapes. Pour le moment, ces criminels veulent d’abord matérialiser la république en gestation : la République des Grands Lacs. Dans la bande à 3, c’est Yoseri Tubuhaburwa (Dr ès Sciences politiques) qui joue toujours le rôle de servomoteur.

Yoseri Tubuhaburwa devint ministre de la Défense nationale, s’engagea vers 1984 dans la lutte armée, devint rebelle contre le pouvoir de Kampala d’alors. Il créa son maquis et son mouvement pro-Tutsi dénommé l’Armée de la Résistance Nationale (NRA). Il bénéficie d’une longue expérience militaire sur le terrain comme Laurent-Désiré Kabila. Il est allé faire des courbettes auprès du « grand frère », Joseph-Désiré Mobutu, et celui-ci l’a aidé pour arriver au pouvoir. Il fut introduit auprès du « Grand Léopard » par le spécialiste de l’Est du Zaïre (actuel Congo), le philosophe et expert en renseignements, en l’occurrence Honoré Ngbanda. Comme d’habitude, Mobutu se lança dans l’aventure de Yoseri Tubuhuburwa alias Museveni et voilà comment il a réussi son coup. Malheureusement, c’est le même Museveni qui a comploté contre son « grand frère Mobutu ». C’est pour cela que le président Mobutu avait prononcé, lors de l’invasion du Zaïre par l’APR et alliés – APR, c’est l’Armée Patriotique Rwandaise dont faisait partie le Commandant Hyppo – la célèbre phrase : « On m’a poignardé dans le dos ». Enfin, c’est toujours lui Museveni (avec sa bande) qui continue à jouer le rôle de sous-traitant des Américains pour faire agoniser et balkaniser le Congo-Kinshasa.

Museveni adore et s’inspire d’Adolphe Hitler jusqu’à ce jour. Il aida Paul Kagame à prendre le pouvoir au Rwanda par la ruse. Comme vous le savez, c’est lui qui poussa son frère Tutsi, Paul Kagame, à envahir et occuper le Congo sous la théorie hitlérienne de « l’espace vital et du pangermanisme ». Les Traîtres et les Collabos pensent que les envahisseurs Tutsi sont là pour quelques jours seulement et ils partiront, mais nos frères égarés sont en train de rêver. Ils sont en train de commettre une erreur monumentale. Voyez-vous, nos chers compatriotes, ce qui se passe dans le Nord et Sud-Kivu. Des Tutsi nous arrivent de l’Abyssinie, de l’Erythrée, de la  Somalie, du Burundi, du Rwanda, de la Tanzanie, du Kenya, de l’Ouganda, de partout, et envahissent nos terres pour toujours.

Quelle est la source (cause immédiate) du conflit Museveni-Mobutu ? En 1986, Museveni s’empara du pouvoir en Ouganda. Ses relations avec le « grand frère Mobutu » allaient bon train en croissant jusqu’en octobre 1990 où les Tutsi du FPR, Front Patriotique Rwandais, étaient à 50 Km de Kigali, prêts à renverser le président Utu-Rwandais de l’époque, Juvénal Habyarimana, encore « un petit-frère » du grand Léopard Mobutu. [Juvénal Habyarimana fut président du Rwanda du 05 juillet 1973 jusqu’à son assassinat le 06 avril 1994]. Informé de la tentative de renversement du pouvoir de son « petit frère Habyarimana » qui se trouvait aux USA, le Maréchal Mobutu envoya en première ligne le Général Donatien Mahele Lieko Bokungu, surnommé le Tigre, avec la DSP (Division Spéciale Présidentielle) et le SARM (Service d’Action et de Renseignements Militaires) pour lancer la foudroyante contre-attaque. Le FPR défait, mis en morceaux, jeté hors du Rwanda, et renvoyé en Ouganda chez Yoseri.

Enfin, à Kinshasa, dans les habitations de la FIKIN (Foire Internationale de Kinshasa), je rencontre un ami d’enfance, le Colonel Ginenga Zéphirin, revenant des durs combats au Rwanda et celui-ci me dit : « Bazali  bana mike, bakoki kobunda na biso te  ». C’est drôle ! Ce sont les mêmes Tutsi qui étaient revenus, en août-septembre 1996, pour jouer la 2e mi-temps ! Les mêmes FAZ (Forces Armées Zaïroises), la même DSP, et le même SARM, étaient complètement défaits et anéantis à jamais jusqu’à ce jour.  « Mawa, Mawa, Mawa ! ». Le slogan de nos militaires, « Tokowa mpo na Ekolo », est resté lettre morte jusqu’à présent. Ils sont éparpillés partout à travers le monde. Certains, réfugiés en Europe, sont en train de manger des beefsteaks, des fromages et yogourts (yaourts) à 50 centimes. Après 30 ans de fuite et d’abandon de poste, sans vergogne, ces derniers (militaires exilés en Europe) viennent tout récemment de créer, semble-t-il, un soi-disant « Front… » C’est vraiment très rigolo de leur part ! Ils méritent de passer devant la « COM », Cour d’Ordre militaire.

Aux combattants, Résistants Congolais, et partisans du « Front ou Bloc de Refus », nous vous rappelons que notre dernière bataille a plus de 5 ennemis, notamment les USA, les Anglo-Saxons, l’UE (Union Européenne) dont la petite Belgique, l’ITP (International Tutsi-Power) dont Yoseri Tubuhabrwa alias Museveni, James Kabarebe, Paul Kagame et Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila. Nous ne pouvons à aucun moment ignorer ces principaux ennemis du peuple Congolais. Advienne que pourra, « BAKOKO MALAMU » l’ont dit et confirmé : nous gagnerons la bataille finale. DONC, LE PEUPLE CONGOLAIS VAINCRA ! NOTRE VICTOIRE EST SÛRE ET CERTAINE, CAR NOUS DÉFENDONS UNE CAUSE LÉGITIME, NOBLE ET JUSTE ! INGETA !

Vive le CRAGI :

« Comité Révolutionnaire d’Avant-Garde Indépendant » !

Vive le Congo libre, indépendant et prospère !

Vive la lutte pour notre liberté !

FAIT À NEW-YORK, LE  DIMANCHE  25  SEPTEMBRE  2016

« Sé/Cellule MALCOM X »

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