samedi , 7 novembre 2020
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Edem KODJO - Politicien togolais.
Edem KODJO - Politicien togolais.

RDC : Solution pour mettre fin à la Distraction et booster notre Combat de libération !

Une nouvelle et honteuse polémique (donc énième distraction) née suite à la révélation faite par le facilitateur Edem Kodjo – ancien 1er ministre togolais invité au Congo pour venir faciliter l’octroi d’un 3ème « mandat-cadeau » à l’Extrémiste et Tueur Tutsi-Rwandais « Joseph Kabila » – sur l’Accord politique secret conclu à Paris dans l’hôtel Raphaël entre l’UDPS-Familiale et le pouvoir d’occupation dirigé par ce même « Joseph Kabila ». « L’Accord de Paris » est un énième accord de compromission signé par la famille Tshisekedi. Franchement, Étienne Tshisekedi, Marthe (sa femme), et ses enfants dont Félix, croient que le Congo-Kinshasa est devenu leur propriété privée qu’ils peuvent gérer au gré de leurs fantasmes – La distraction du peuple congolais porte un nom : Etienne Tshisekedi Wa Mulumba. Ce Traître – qui continue à jouer son rôle permanent de démobilisateur et endormeur du peuple, rôle qu’il joue depuis l’époque de son ami intime Mobutu – est la personnification même de cette DISTRACTION – Cette Distraction a comme conséquences : L’ignorance, l’inconséquence, l’insouciance et l’inconscience de nombreux Congolais. Plusieurs congolais ne font plus attention de ce qui se passe réellement dans leur pays. Or, il y a des choses très capitales dont on devrait s’occuper ou faire. Donc, si l’on ne fait pas très attention, on risquerait de perdre le Congo – Encore Vital Kamerhe ? Oui, sans honte, il s’est même  autoproclamé « Médiateur » chargé d’acheter la conscience des Congolais hésitant et celle de ceux qui augmentent les enchères de leur participation au soi-disant « Dialogue National Inclusif ». Kamerhe, qui est-il au juste ? – Afin de mettre fin à toutes ses incessantes distractions, et nous concentrer sur le combat de libération, il faut « Mbula Mabanga » !

La distraction est un mal qui répand l’insouciance, l’inconséquence, l’incompétence, l’inconscience et l’ignorance. La distraction est un mal qui ronge le peuple congolais. Le chef de file et porte-étendard de l’opposition d’accompagnement du pouvoir d’occupation au Congo est la personne qui symbolise cette distraction. Cette personne s’appelle Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, car c’est lui qui incarne cette DISTRACTION dont on parle. Etienne Tshisekedi, c’est la DISTRACTION personnifiée. Ce vieillard continue donc à jouer son rôle permanent que la CIA lui a confié. Ce rôle diabolico-cynique consiste à démobiliser, à hypnotiser, à faire endormir et trahir le peuple depuis l’époque de son ami intime Joseph-Désiré Mobutu. À cette époque, Tshisekedi était son farouche opposant la journée, mais il devenait (ou restait toujours) son ami intime la nuit. Ne pouvant plus supporter à se cacher, Tshisekedi et ses collègues membres de l’UDPS avaient officiellement réintégré le MPR (Mouvement Populaire de la Révolution) de leur ami commun  Mobutu en date du 17 juin 1987 : d’où « l’Accord de Gbadolité ». Dorénavant, depuis cette date (le 17 juin 1987), l’UDPS est redevenue une branche ou un courant politique au sein du MPR. Nous conservons jalousement la copie de la lettre de demande de réintégration au MPR, signée depuis la ville de Mbujimayi par les 4 ténors de l’UDPS de l’époque, à savoir : Kibassa-Maliba, Ngalula Mpandanjila, Mpindu Mbwabwa et Tshisekedi wa Mulumba. Prochainement nous publierons cet « Accord de Gbadolité ». Voilà la vérité, et l’on ne peut changer l’Histoire !

Au juste, c’est quoi la distraction à la congolaise ? Ce sont tous les discours creux et démobilisateurs ; l’organisation des élections dans un Congo occupé ; les concertations et dialogues bidons ; les polémiques stériles ; faire de l’opposition politique dans un Congo occupé (celle-ci n’est en réalité qu’une opposition d’accompagnement du pouvoir d’occupation) ; les voyages des « Collabos et Traîtres » en Occident pour venir corrompre les faux-combattants ; etc. Une autre honte nationale : l’enfantillage permanent, ou l’infantilisation permanente de la « classe politique » congolaise qui est médiocre et pourrie.

Patriotes Résistants, gardons notre distance par rapport à toutes ces distractions, car notre victoire finale est certaine ! Encore quelques marches à faire pour que ce fruit tombe ! Il est bien mûr !

Que les amuseurs et endormeurs du peuple arrêtent de nous rabâcher les oreilles avec leur soi-disant « Dialogue national inclusif » convoqué par les occupants. Tout le monde sait très bien que ce fameux dialogue est un acte anticonstitutionnel : un acte contre leur soi-disant « Constitution » qui n’est en réalité qu’une « Charte d’occupation ». Ce fameux dialogue est une énième distraction. Alors, les Tshisekedi, « Moïse Katumbi », Fayulu, Matungulu, Boshab, Vital Kamerhe, Mwando Nsimba, Gizenga, José Makila, Sesanga, Tambwe Mwamba, Franck Diongo, Lambert Mende, (etc.), sont tous des distracteurs qui ne veulent pas dire la vérité au peuple congolais. Conformément à la réalité, cette vérité est la suivante : le Congo-Kinshasa est sous occupation étrangère.

Raison pour laquelle nous ne voulons pas baisser les bras. Et nous disons à tous ces plaisantins cherchant à se positionner pour occuper des « postes de trahison » : Halte à la distraction. Pendant les 15 ans de pouvoir d’occupation avec Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila à la tête de notre pays, le Congo a trop excellé mais dans le mal. De l’endroit où le régime déchu de Mobutu nous avait laissés lors qu’il avait abandonné le pays, dans le bateau Utenika, entre les mains des « Occupants Tutsi », notre pays se trouve aujourd’hui à la 187ème place sur 188 de l’indice pour le développement humain selon l’ONU. Nous devons alors nous mettre debout afin de défendre la Patrie en danger, la sauver du gouffre, et la sortir du « poto-poto » (la boue) des Tueurs Tutsi.

Que constatons-nous aujourd’hui ? Il est établi qu’Étienne Tshisekedi – en tant que protée et versatile à la fois – « fait danser » le « Ndombolo » et le « Kwassa-kwassa » aux naïfs inconscients ; après avoir reçu l’ordre de la part de ses « maîtres de l’occident », il a convoqué à Genval (en Belgique) ses collègues membres de l’opposition d’accompagnent de l’occupation pour mieux les apprivoiser, les dompter, et les faire avaler toutes les pilules amères qu’il a reçues de ses maîtres occidentaux qu’il appelle lui-même les « Décideurs » ; a fait dormir la population kinoise à Kinshasa lors du meeting du 31 juillet 2016 ; tantôt favorable au fameux Dialogue, tantôt contre ledit Dialogue (parce que le Juif-Zambien « Moïse Katumbi » – son « enfant chéri » et nouveau acquéreur de l’UDPS-Familiale – est absent du Dialogue ad hoc) ; subitement il veut un soulèvement populaire télécommandé et sans avant-gardistes : c’est du jamais-vu et du jamais-vécu au monde, mais tout est possible au Congo-Kinshasa. Let’s wait and see ! Voyons voir, si cela peut se produire sur commande ! C’est une énième distraction de la part de ce vieillard (Étienne Tshisekedi). Il est payé par ses « Décideurs » et par l’International Tutsi-power pour continuer à jouer ce rôle cynique et pervers.

En outre, le cas Kamerhe. Pourquoi Jean-Bertrand Ewanga a-t-il démissionné de l’UNC ? Pourquoi n’avait-il pas dénoncé l’imposture de Vital Kamerhe au sein de l’UNC ? Vital Kamerhe est un infiltré qui se cache et qui triche, c’est un RWANDAIS donc un IMPOSTEUR. Il aurait fallu le chasser de l’UNC et partir avec une bonne partie des cadres et militants.

En effet, le nom « Kamerhe » vient de Kinyarwanda et signifie : nature, habitude, comportement de « Ugbenge » (culture du mensonge, de la ruse, ou de la fourberie). Le nom de « Kamerhe » n’existe pas dans la langue « Shi ». Ce manipulateur est né un certain 4 mars 1959 à Cyangugu, au Rwanda. Le général rwandais Gratien Kabiligi – arrêté le 18 juillet 1997 par le TPIR (Tribunal Pénal International pour le Rwanda) et transféré à Arusha, en Tanzanie – est le cousin de Vital Kamerhe. Leur grand-père commun est Mr Kanyiginya du clan royal Hutu des Banyiginya de la préfecture de Cyangugu au Rwanda. Le général rwandais Gratien Kabiligi est né en décembre 1951 et étudié au Collège St Paul de Bukavu sous les bons soins de son oncle paternel Constantin Kamerhe – le papa de Vital –, alors employé chez PHARMAKINA à Bukavu. Le général Gratien Kabiligi fut aussi commandant des opérations au Sud-Kivu lors de l’agression du Congo par l’APR – Armée Patriotique Rwandaise de Paul Kagamé – avec leurs marionnettes congolaises de l’AFDL.

Par ailleurs, en parcourant les câbles diplomatiques de l’ambassade des USA à Kinshasa diffusés par l’Australien Julian Assange dans Wikileaks, à propos du Rwandais Vital Kamerhe, il est dit que : « c’est un personnage à l’ambition dévorante, doté d’une cupidité maladive, exempt de toute moralité, prêt à toutes les compromissions pour assouvir sa soif de pouvoir inextinguible, dépourvu de tout sens moral, prompt à mentir, à se parjurer, à se dédire et à trahir ». De nombreux diplomates occidentaux fréquentés par lui le dépeignent dans les mêmes termes que l’ambassadeur américain à Kinshasa : « médiocre, superficiel, machiavélique, jongleur, intriguant et manipulateur ». Il s’agit des mêmes qualificatifs dont se servent ceux qui connaissent bien les Tutsi et l’Ugbenge afin de décrire et déballer Vital Kamerhe. Mais, dit l’auteur, c’est apparemment le genre d’individus dont les vices rédhibitoires et écœurants intéressent certaines agences américaines des renseignements… Passé maître dans l’art de la dissimulation et des cabales, intriguant doué d’extraordinaires dons pour enfumer ses interlocuteurs ; Vital Kamerhe applique toujours la stratégie de la chauvesouris. Totalement dépourvu du sens de la dualité, pour lui qui ignore la frontière qui sépare le Bien et le Mal, le faux du vrai, le réel de la fiction, le mirage de la réalité, le mensonge de la vérité, la fidélité de l’infidélité et la loyauté de la déloyauté. Il ne s’occupe de rien d’autre que de sa carrière politique de l’imposture. Rongé par l’ambition démesurée, il écrase tout sur son passage dès lors qu’un obstacle se dresse sur le chemin de son ascension vers le sommet au pays des aveugles, le Congo. Depuis des années, il n’a reculé devant aucune imposture, ni aucune duplicité pour parvenir à ses fins.

La fourberie et la roublardise de Kamerhe sont bien connues. Ce Rwandais se révèle d’une dangerosité létale parce qu’il est en outre dépourvu de toute espèce de scrupule. Manipulateur, fourbe et retors, affabulateur, fieffé menteur, diplômé en hautes études en sciences de l’intoxication, docteur en jeux de coulisse, maître es bonimenteur, il déploie depuis des années ses talents diaboliques sur la scène de la tragédie congolaise, sans le moindre regard sur les morts qui, par millions, tombent autour de lui.

En plus, Vital Kamerhe avait mandaté son compatriote Tutsi-Rwandais Lawrence Kigizi – le « géant » aux lunettes teintées comme vous l’avez remarqué sur la photo (cf. Supra), représentant de l’UNC à Londres – dans les zones occupées par le M/23 pour implanter les drapeaux de l’UNC. Ce dernier sillonne les territoires de Walikale, de Masisi, de Rutshuru et autres localités pour y prêcher l’évangile de son « frère » Vital Kamerhe. Bref, Vital Kamerhe a été vomi par la CIA à cause de ses mensonges répétés.

Il n’est pas impossible que « Joseph Kabila » et Vital Kamerhe soient les cofondateurs et financiers du M/23 car les uniformes qu’ils portent proviennent des FARDC (rappelez-vous des militaires de la MONUSCO portant des uniformes des FARDC : c’était pour les remettre aux militaires du M/23. La MONUSCO est donc complice de tout ce qui se passe au Congo. Vital Kamerhe est le principal conseiller politique du M/23. Le moment venu, nous publierons toutes les preuves y relatives. Mais retenez tout simplement que la présence du drapeau de l’UNC parmi les éléments du M/23 est l’une des preuves tangibles.

Voici quelques-uns de ses mensonges et autres abus insupportables :

– Vital Kamerhe  se dit être un ancien membre de la jeunesse de l’USOR (Union Sacrée de l’Opposition Radicale). Or, au sein de la plate-forme USOR, il n’y existait jamais d’une quelconque structure de la jeunesse dans laquelle Kamerhe prétend avoir été membre. Certes, Vital Kamerhe fut membre de la Jeunesse mobutiste, dite FROJEMO (Front de la Jeunesse Mobutiste, dirigée par les enfants de certains généraux) ;

– sa sœur, venue de Kigali (Rwanda), travaillait dans le cabinet d’un certain Barnabé Kikaya Bin Karubi, un autre Tutsi, alors ministre à l’Information. Mais Kamerhe nie ses propres origines rwandaises ;

– Vital Kamerhe – accompagnant son compatriote rwandais, Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila Kabange, l’assassin reconnu de Laurent-Désiré Kabila – avait participé à l’assassinat de ce dernier (Laurent-Désiré Kabila), le 16 janvier 2001 ;

– en abusant de leurs femmes, il a détruit, avec le concours de son compatriote Rwandais « Joseph Kabila », les familles de JB Mpiana, Didier Kinwani et Marc Mvwamba alors vice-président de l’Assemblée bidon ;

– il a détourné la somme de 500.000.000 $ US (Cinq cent millions de dollars américains) de l’Assemblée Nationale, une somme prévue pour la construction du nouveau Parlement congolais. Il a détourné cette somme d’argent avec la complicité d’Hyppolite Kanambe, c’est pourquoi Kamerhe n’a jamais été poursuivi jusqu’à ce jour ;

– Kamerhe participa à l’époque aux travaux préparatoires de Lusaka en tant que membre du RCD/Rwanda et agent mandaté par l’I.T.P. (International Tutsi-power) pour aller corrompre les Congolais présents lors de ses assises préparatoires à Lusaka, (…) ;

– une autre sœur de Kamerhe fut l’épouse de José Makila alors gouverneur de l’Équateur. La cérémonie du mariage coutumier s’était déroulé chez les Kamerhe à Kigali, où résidait son oncle paternel, le général rwandais Gratien Kabiligi ;

– à Lovanium où il a étudié, le sieur Kamerhe a eu une Licence en économie agricole en tant qu’étudiant Rwandais. Et son diplôme porte le prénom de Vital, or à cette époque aucun Zaïrois n’avait le droit de porter un prénom chrétien à cause de la politique du « Recours à l’Authenticité » imposée par la dictature mobutienne ;

– son père Constantin Kamerhe, venu de Cyangugu, travaillait à l’époque coloniale chez PHARMAKINA à Bukavu, comme nous l’avons dit précédemment. Sous Mobutu, il travaillait sous contrat à la CADEZA (Caisse Générale d’Épargne du Zaïre) et, après, il était affecté (muté) à Kikwit, dans le Bandundu, avec toute sa famille. À Kikwit, Vital a étudié chez les Frères Joséphistes à Indobo (Institut St Jean-Bosco), et est connu en tant que Tutsi-Rwandais. Mais depuis qu’il a été dévoilé par des Kikwitois, il ne mentionne plus son passage dans cette ville dans son CV ;

– sa mère, réfugiée en Grande-Bretagne en tant que Tutsi-Rwandaise. Pour nous les Congolais, il est moins important de chercher à savoir la vraie nationalité de sa mère : qu’elle soit Burundaise ou Rwandaise, c’est blanc bonnet, bonnet blanc.

– Kamerhe est marié à une « Mushi », Mamick Boji, fille d’un ancien dignitaire de Bukavu. Par ses gymnastiques à la rwandaise (par la ruse), des fois, Kamerhe se dit être aussi « Mushi» comme sa femme. C’est drôle ! ;

– dernièrement, il s’est constitué « force de l’ordre de l’International Tutsi-power » en allant casser le bureau du parti politique de Martin Madidi Fayulu, dit Martin Fayulu, sur l’avenue Enseignement dans la commune de Kasa-vubu. Drôle de « commerçant politique ou politicailleur infiltré au Congo » ! ;

– cet infiltré n’a même pas honte, car il s’est autoproclamé médiateur chargé d’aller convaincre des Congolais naïfs et assoiffés de pouvoir et d’argent afin d’accepter de participer aux travaux de leur soi-disant Dialogue National inclusif. La liste d’abus commis par cet « Occupant » est trop longue mais on se limite là pour l’instant.

Comme il en est ainsi, le CRAGI propose le « MBULA MABANGA » afin de mettre fin à toutes ses distractions et booster ainsi notre combat de libération. D’aucuns veulent savoir la signification de cette expression qui est en langue lingala. « MBULA MABANGA » : c’est le déclenchement de la lutte armée sur le terrain au Congo par nos « Makesa ». C’est un droit universel reconnu à tous les peuples opprimés. En d’autres termes, c’est le réveil du peuple congolais dans ses droits les plus élémentaires, c’est le droit de défendre nos frontières modernes et historiques de 1910. Tout au long de notre existence, au Congo-Kinshasa, nous n’avons jamais rencontré un peuple autochtone congolais nommé Tutsi. En 1960, l’ONU avait demandé aux Tutsi-rwandais réfugiés au Congo de ne pas s’ingérer ou se mêler de la politique du Congo. En cette qualité de réfugiés Tutsi-rwandais au Congo, ils étaient tenus de s’abstenir de toute activité politique sur toute l’étendue du territoire congolais. Faut-il encore répéter ces phrases-là ?

Patriotes Congolais, vous êtes bien avertis maintenant ! L’heure n’est plus aux blablablas mais aux actions pour obliger les Extrémistes et Tueurs Tutsi à mettre leur plan de balkanisation à la poubelle. Nous devons armer tous les nôtres notamment les « Maï-Maï » et créer des « Forces d’Auto-Défense Populaires », en sigle « FADP », afin de faire échouer leur « plan Z».  Z : c’est la dernière lettre de l’alphabet français, et puis ils n’auront plus rien. Il faut les chasser d’abord du Congo – c’est une priorité absolue pour nous –, puis il faut les chasser du Rwanda, et enfin, faire retourner ces nomades et éleveurs de vaches d’où ils étaient venus, c’est-à-dire, à l’Érythrée. Organisons-nous à travers tout le territoire congolais, à savoir : à l’Équateur, province Orientale, Grand Kivu, Katanga, les deux Kasaï, Bandundu, Bas-Congo et Kinshasa. L’heure est grave et il y a urgence ! Nous profitons de cette occasion pour féliciter et encourager nos compatriotes du Nord-Kivu pour leurs promptes réactions. Courage et continuez !

Par ailleurs, la Rédaction d’« ATA NKALÉ » ne vous promet rien mais il faut seulement vivre les réalités sur le terrain. Tôt ou tard, Ata Nkalé, la victoire sera de notre côté ; car le Congo-Kinshasa est notre pays, et nous avons l’aide spirituelle de Dieu et celle de nos « Bakoko Malamu ». Advienne que pourra, le peuple congolais gagnera la dernière bataille et la victoire finale sera la nôtre car nous défendons une cause légitime, noble et juste : la Terre héritée de nos ancêtres.

Peuple Congolais, réveillez-vous, l’heure a sonné d’aller tout droit au but afin de chasser tous ceux qui entravent notre développement. Rien ne nous arrêtera pour combattre les Occupants, les Traîtres et les Collabos. Leur sort sera celui de tous les Occupants, Traîtres ou Collabos à travers le monde tels que l’allemand Nikolaus Barbie, dit Klaus Barbie – surnommé « le boucher de Lyon » – et le Maréchal Pétain, tous les deux, condamnés en France, et Léopold III en Belgique. Nous aussi, nous devons faire la même chose pour punir sévèrement les Ruberwa, Kanambe alias Joseph Kabila, Bugera Rwamakuba, Nyarugabe, Kagame, Kabarebe, Alias Kengo wa Dondo, Matata, Ntanganda, Kundabatware, Muhiro, Vital Kamhere, Soriano alias Moïse Katumbi, Janet & Zoé Kanambe, Bisengimana, Antoine Gizenga, Nzanga Mobutu, Boshab, Tambwe Mwamba, Raymond Tshibanda, Bahati Lukwebo, Luzolo, Fuka Nzola, Lubaya Claude, Lumanu, Lukiana Mufwankol Ange, Tshisekedi (père & fils), Mende, Minaku, Léon Kengo, Okitundu, Alain Atundu, Édouard Mokolo, Pierre Lumbi, Olivier Kamitatu, Célestin Kanyama, Alonga Boni, etc. LE PEUPLE CONGOLAIS VAINCRA !  INGETA !

Vive le CRAGI :

« Comité Révolutionnaire d’Avant-Garde Indépendant » !

Vive le Congo libre, indépendant et prospère !

Vive la lutte pour notre liberté !

FAIT À PARIS, LE MERCREDI 07 SEPTEMBRE 2016

« Sé/Cellule Léonard  MITUDIDI »

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